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25 mars 2010

Elisabeth BADINTER, fille de Publicitaire elle en

Elisabeth BADINTER, fille de Publicitaire elle en est très fière. Elle vient de sortir un livre "le conflit, la femme et la mère". Dans son livre elle parle que depuis les années 80 la vie au travail est devenue très rude, en particulier pour les femmes. Les entreprises qui peuvent les jeter comme un klennex, et de l'autre leurs devoirs maternels. C'est de cela que parle en autre E. Badinter. D'un conflit d'un écartelement entre ces deux exigences à concilier. Les plus défavorisées, se dont donc demandées à quoi bon aller travailler avec des horaires insensés pour gagner même pas un SMIG. Ce sont-elles qui les premières ont été interessées par l'allocation parentale créée par Mme S. Veil, et aujourd'hui on sait que cela est une catastrophe, elles n'ont pu retrouver de travail une fois leur enfant élevé. D'autres femmes supers diplomées pensent pourquoi se défoncer dans un travail ingrat "quant je peux peut être faire de mon enfant le chef d'oeuvre de ma vie. E. Badinter était très en colère quand elle a entendu Mme KosciuskoKosciusko Morizet annoncer l'an dernier qu'elle songeait à une taxe sur les couches jetables. Pour une ministre de l'écologie à l'époque, si vraiment à l'époque elle avait été préoccupée du sort des femmes elle aurait dit "je vais faire en sorte (que les couches jetables deviennent biodégradables) que l'on fasse passer à ce point les arbres avant les femmes cela est insupportable. Quand une femme refuse d'allaiter son enfant on va lui dire "comment pouvez vous refuser cela à votre enfant)  on peut être pour ou contre l'allaitement mais j'espère que restera l'idée qu'on n'est pas obligée de se soumettre. Nous sommes toutes des mères médiocres, moyennes, la mère parfaite est un mythe. Quelquefois il y a des Mozart de la maternité, des femmes exceptionnelles qui touvent la bonne place entre enfant et elles. Mais l'immense majorité des mères se trompe, tâtonne. Dans les années 70 on pensait qu'une vie de femme ne pouvait être accomplie que si on était mère. Aujourd'hui aux Etats Unis, en Allemagne par exemple des femmes témoignent pour dire que l'on peut avoir une vie riche, épanouie, sans enfant. Dans nos Sociétés égoiste elle assument de vouloir garder leur liberté, leur argent, leur énergie, leur féminité, cela laisse une ouverture à nos esprits pour se poser des question ? Ces propos sont recueillis dans un entretien sur la parution de son livre. Je dois avouer au début j'avais un peu peur de lire son ouvrage que sa pensée soit difficile à saisir. Mais aujourd'hui je pense que toutes les femmes peuvent se retrouver dans cet ouvrage. C'est pour cette raison qu'aujourd'hui je vous en parle, et si l'occasion se présente de le lire et d'échanger vos points de vues.

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